Cet article Journal de Québec a de quoi surprendre et inquiéter. Un policier est forcé par le Service de police de la Ville de Québec (SPVQ) d’abandonner les combats extrêmes car cela contrevient à un règlement interne (Règlement sur la discipline des membres du Service de police de la ville de Québec) autour de la fréquentation d’endroits potentiellement reliés au milieu criminel. Malgré mes recherches, je ne connais pas la teneur exacte du règlement sur lequel s’appuie le SPVQ, pas plus que les conclusions de l’enquête interne mais l’article du Journal de Québec précise « En conséquence, après vérification de la situation, il appert clairement que les lieux où vous pouvez être appelé à livrer des combats ou à vous entraîner sont généralement reliés, de façon directe ou indirecte, au milieu criminel. En conséquence, il vous est désormais interdit de participer à de telles activités dans de tels lieux ».
On sait qu’un grief a été déposé par la Fraternité des policiers de Québec, ce qui fait qu’il y aura la plus grande des confidentialités autour de cette affaire. Il est cependant du devoir du SPVQ d’expliquer ses agissements, qui supposent des soupçons sérieux, si ce n’est envers son policier, envers le milieu des combats ultimes. S’il s’avérait que ce ne soit qu’une question « d’image » il faudra dorénavant interdire à tous les policiers de fréquenter les bars du Québec. En effet, on sait que souvent, les bars sont liés de près ou de loin au milieu criminel car il s’y fait parfois de la vente de drogues illicites…
Pas de policiers dans les bars ?
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